Les premiers billets de zéro euro furent présentés au public le 1er avril 2015. l’inventeur de ces billets est Richard FAILLE, qui avait également créé en 1996 le concept des médailles souvenir en partenariat exclusif avec la Monnaie de Paris . La première série comptait cent billets différents comprenant uniquement des sites touristiques français. Ils étaient vendus à leur lancement au prix de deux euros l’unité.
Depuis 2021, il existe plus de 2 500 billets différents, de 30 pays d’Europe et du reste du monde. Les billets sont imprimés avec les mêmes caractéristiques techniques que les billets de banque, par Oberthur Fiduciaire une des plus grandes imprimeries fiduciaires mondiale. Filigrane, fil de sécurité, encres fiduciaires, hologramme ou encore numéro de sécurité individuel, la ressemblance est frappante à la seule différence que le papier utilisé est légèrement différent de celui des billets fiduciaires en Euros, ce qui permet aux coupures de zéro euro de ne pas être détectées par les machines automatiques comme étant un moyen de paiement.
Le premier billet remarquable est un billet comprenant une erreur, le SARLAT 2015, appelé le « 6 oies de SARLAT ». Le modèle demandé devait comporter le dessin de trois oies.

Le revers de tous les billets 0 euro souvenir comporte un zéro blanc suivi du signe de l’euro pour indiquer qu’il n’y a pas de valeur financière.
Y sont représentés, pour la série 2015 (de gauche à droite), le pont de Gard, le Mont Saint Michel, la tour Eiffel, la cathédrale Notre dame de paris et la Joconde.

Pour les séries 2016 et 2017, la Porte de Brandebourg, Big ben, la tour Eiffel, le Colisée, la Sagrada Familia, Le Manneken Pis et la Joconde.

À partir de 2018, Big Ben est remplacée par la tour de Belem.

Deux autres entreprises se sont lancées dans ces productions : Fonderies Saint Luc et Ateliers des trésors